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jeudi, mars 28, 2024
FAF

Succession de Zetchi à la tête de la FAF : Medouar et Kerbadj affichent leurs ambitions

Alors que certains croient toujours à une volte-face du président de la FAF Kheïreddine Zetchi quant à une éventuelle candidature de sa part pour postuler à un deuxième mandat, même s’il a écarté lui-même cette hypothèse, le président de la LFP, Abdelkrim Medouar, lui, ne cache pas ses ambitions de prendre les commandes de la première instance footballistique dans le pays.

En effert, Abdelkrim Medouar, vient de déclarer une nouvelle fois qu’il pourrait briguer la présidence de la Fédération algérienne de football, dont l’assemblée générale élective aura lieu en début de l’année prochaine.




«L’ambition est un droit légitime. Cela fait maintenant deux ans que je suis à la tête de la Ligue et dans le cas où je décide de présenter ma candidature à la présidence de la FAF, je le ferai après mûre réflexion», a-t-il indiqué.

Le patron de la LFP, dont le dossier de candidature à la présidence de la FAF lors du précédent mandat a été rejeté à la dernière minute, compte bien s’appuyer sur sa longue expérience passée dans les affaires du football algérien pour succéder à Kheireddine Zetchi à la tête de l’instance fédérale.




«J’ai beaucoup appris de mes deux ans passés à la tête de la LFP et de ma longue expérience en tant que président de l’ASO Chlef, qui fait de moi d’ailleurs le doyen des présidents de club algériens après le départ de mes amis Said Allik et Moh Cherif Hannachi, Si je peux apporter un plus à la tête de la FAF, je déposerai ma candidature en présentant un projet ambitieux», a-t-il ajouté.




La même ambition anime aussi le prédécesseur de Medouar à la tête de la LFP, en l’occurrence, Mahfoud Kerbadj. Ce dernier multiplie les sorties médiatiques depuis quelque temps par lesquelles il ne se montre nullement tendre avec l’actuelle équipe dirigeante du sport roi, en particulier son président Zetchi.

Néanmoins, Kerbadj est confronté à un seul obstacle pour éventuellement déposer sa candidature. Etant un cadre d’État, il a expliqué que sa participation à la course de la présidence de la FAF dépend de l’autorisation de son employeur.

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