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jeudi, avril 18, 2024
FAF

Mahfoud Kerbadj tenté par la présidence de la FAF

Alors qu’il avait juré par tous les noms de Dieu de ne plus s’impliquer dans les affaires de football après son éjection du poste de président de la Ligue de football professionnel, il y a de cela près de deux années, Mahfoud Kerbadj n’écarte pas cette fois-ci l’idée de briguer le poste de président de la FAF lors de la prochaine assemblée générale élective prévue pour mars ou avril de l’année prochaine.




Le fait que l’actuel président de la FAF, Kheïreddine Zetchi, ait annoncé sa décision de ne pas se présenter pour un deuxième mandat, semble avoir donné des idées à Kerbadj, dont tout le monde connait l’animosité existante avec l’actuel bureau fédéral, à sa tête Zetchi.

Et si jusque-là l’ancien président du CRB manifestait à demi-mots son désir de briguer la présidence de la première instance footballistique algérienne, cette fois-ci il ne cache nullement ses ambitions dans ce registre.




A son entourage, il a confié, apprend-on, qu’il désirait effectivement se porter candidat lors des prochaines élections de la FAF, précisant toutefois que ses engagements professionnelles, lui qui dirige l’imprimerie officielle, l’bligent à demander d’abord le feu vert des autorités concernées.

En attendant, l’ex-patron de la LFP s’est dit «confiant» quant à ses capacités d’assurer convenablement le rôle de président de la FAF s’il venait de bénéficier de la confiance des membres de l’assemblée générale.




Il met, au passage, en exergue sa riche expérience dans le domaine, acquise notamment de son passage aux commandes du CRB et de la LFP pour mener le sport le plus populaire dans le pays à bon port.

Ce n’est pas tout, puisque Kerbadj table déjà sur ses «très bonnes relations» avec les présidents des clubs et différentes ligues pour accéder au ‘’pouvoir’’ du football algérien, promettant d’ores et déjà de restituer à l’Algérie footballistique sa place dans les instances continentales où il ne compte que des amis, selon ses dires.




Kerbadj, s’il venait effectivement à se porter candidat risque de croiser sur son chemin son successeur, Abdelkrim Medouar, qui ne cache pas à son tour son ambition de remplacer Zetchi, après sa tentative ratée dans ce registre lors des élections de 2017 quand il avait vu son dossier de candidature pour succéder à l’époque à Mohamed Raouraoua, rejeté.

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